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2015-IPN
2015-IPN
À IPN, Toulouse – 2015
« EXQUISITUS »
Le vernissage a occasionné une performance,
CONCERT CINÉGRAPHQIUE
20 mn
Isabelle Cirla, clarinette basse, électronique
Joël Trolonge, contrebasse, électronique
Gilles Thomat, vidéo
Geneviève Démereau, dessin
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Le dessin de huit supports Polaroïd évolue en direct sur une grande feuille de papier.
Au fur et à mesure que les cadres se dessinent, une image de paysage se révèle lentement à l’intérieur.
Le ciel est en mouvement, les nuages passent doucement.
La musique accompagne cette lente montée en puissance, parcourant tour à tour les sensations végétales et atmosphériques.
Le spectacle se termine sur la disparition totale de l’image paysage, laissant place aux huit supports dessinés, témoins d’une empreinte mémorielle.
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2014-SEIX
2014-SEIX
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Chapelle Notre Dame de Pitié à Seix (09) – 2014
dans le cadre des Estivales Lagorre
« EXQUISITUS »
Intervention musicale
d’Isabelle Cirla, solo clarinette basse
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EXQUISITUS
Le processus du travail est basé sur l’improvisation.
À la manière d’un cadavre exquis, chaque dessin est minutieusement prolongé sur le suivant avant d’être rangé et si possible oublié dans une boîte. Les éléments dessinés sont issus exclusivement de désirs et de sensations.
Le rythme se cale sur les mouvements de l’âme.
Réalisation 2013-2014
21 dessins de 30 cm x 40 cm
disposés en continu
Bande totale 8,40 m x 0,30 m
Pierre noire sur papier Canson,
marouflé sur Artique
Le processus du travail est basé sur l’improvisation.
À la manière d’un cadavre exquis, chaque dessin est minutieusement prolongé sur le suivant avant d’être rangé et si possible oublié dans une boîte. Les éléments dessinés sont issus exclusivement de désirs et de sensations.
Le rythme se cale sur les mouvements de l’âme.
Réalisation 2013-2014
21 dessins de 30 cm x 40 cm
disposés en continu
Bande totale 8,40 m x 0,30 m
Pierre noire sur papier Canson,
marouflé sur Artique
MAPPEMONDE
Un paysage dessiné à la pierre noire invite à pénétrer dans un espace. Une vision à 360°, un paysage intime, nocturne et silencieux. Cet espace est celui qui entoure, mais aussi celui qui habite.
Souvenir d’une balade nocturne, réalité déformée. Seul, le ciel est étudié méticuleusement pour que les astres soient positionnés à l’endroit où ils devaient se trouver lors de la contemplation.
En somme, un compromis entre fiction du souvenir et réalité… une passerelle entre le nébuleux de la mémoire et l’objectivité d’une donnée géographique.
Réalisation 2014-2015
15 dessins de 100 cm x 70 cm
Dessin d’ensemble 5 m x 2,10 m
Pierre noire sur papier Vinci,
marouflé sur Artique
Un paysage dessiné à la pierre noire invite à pénétrer dans un espace. Une vision à 360°, un paysage intime, nocturne et silencieux. Cet espace est celui qui entoure, mais aussi celui qui habite.
Souvenir d’une balade nocturne, réalité déformée. Seul, le ciel est étudié méticuleusement pour que les astres soient positionnés à l’endroit où ils devaient se trouver lors de la contemplation.
En somme, un compromis entre fiction du souvenir et réalité… une passerelle entre le nébuleux de la mémoire et l’objectivité d’une donnée géographique.
Réalisation 2014-2015
15 dessins de 100 cm x 70 cm
Dessin d’ensemble 5 m x 2,10 m
Pierre noire sur papier Vinci,
marouflé sur Artique
D’une manière aléatoire et subite se manifeste la projection de lignes et de chiffres lumineux. Ces coordonnées géographiques tentent de donner les repères à cette mappemonde.
Les lignes se multiplient jusqu’à saturation. L’intervention est à la fois dérangeante et séduisante car le dessin s’en retrouve être illuminé, ressemblant alors à une image cinématographique.
Recrudescence d’une volonté de maîtrise et de compréhension.
Puis la projection cesse et le paysage retrouve sa profondeur et son intimité.
Le noir silencieux se pose de nouveau. La bulle déployée, telle une grotte, invite à s’échapper de nouveau.
LA DANSE des MAINS
Trois vidéos, trois paires de mains de trois âges différents.
Les mains, paysage intime et banal, dansent une même chorégraphie. Une règle : ne jamais dissocier les deux mains.
Elles évoluent chacune à leur manière, elles se trompent, elles se décalent.
Moments maîtrisés, abandonnés, contrariés…
Elles se retrouvent en fin de cycle dans la même position de repos. Puis la boucle reprend.
La chorégraphie identique et le cadrage serré tissent les trois images pour en former une seule. Et dans ce tryptique agité ou gesticulent trente doigts, l’illusion, la possibilité d’une unité émergent.
Réalisation 2015
Vidéo en continu
avec Gilles Thomat, vidéaste
Trois vidéos, trois paires de mains de trois âges différents.
Les mains, paysage intime et banal, dansent une même chorégraphie. Une règle : ne jamais dissocier les deux mains.
Elles évoluent chacune à leur manière, elles se trompent, elles se décalent.
Moments maîtrisés, abandonnés, contrariés…
Elles se retrouvent en fin de cycle dans la même position de repos. Puis la boucle reprend.
La chorégraphie identique et le cadrage serré tissent les trois images pour en former une seule. Et dans ce tryptique agité ou gesticulent trente doigts, l’illusion, la possibilité d’une unité émergent.
Réalisation 2015
Vidéo en continu
avec Gilles Thomat, vidéaste